Votre partenariat avec Prysmian Group ne date pas d’hier, j’imagine qu’il a évolué au fil du temps. Comment a commencé cette belle aventure ?

Elle a commencé quand j’ai rencontré Valerie Bapttista en 1998. Il était encore ingénieur chez Pirelli à cette époque. Il était passionné de voile et il m’a vu évoluer tout au long de ma carrière. Je le rencontrais très souvent au départ de Regates, donc il a suivi mon évolution.

J’ai écrit mon premier livre en 2004, j’étais très jeune à ce moment-là. Le deuxième est sorti en 2007, et c’est cette année-là qu’il a décidé de m’accompagner dans un petit projet, avec une somme symbolique. Depuis ce jour-là, on a commencé à faire de bons résultats et donc on a cherché à évoluer en termes d’objectifs. L’aventure a vraiment démarré en 2005, car assez vite, Prysmian Group a commencé à me sponsoriser. Je peux dire aujourd’hui que j’en suis très fier, car on a grandi ensemble.

Prysmian Group est une entreprise attractive avec un chiffre d’affaires important, des programmes, des perspectives pour l’avenir. On a terminé ensemble dans le TOP 10 du dernier Vendée Globe. C’est un joli projet et c’est une belle histoire qui est en train de s’écrire chaque jour. Je suis très fier de pouvoir continuer à courir sous les couleurs de Prysmian Group que je porte depuis 15 ans.

 

Quels types de relations tissent-on avec un partenaire comme Prysmian Group ? Est-ce qu’il est uniquement sportif ?

Non bien évidemment, nous partageons les mêmes valeurs. Nous avons également la même approche de l’avenir. Aujourd’hui, les valeurs de Prysmian Group sont les mêmes que les miennes : notre recherche de la perfection, le fait d’être toujours à l’écoute, l’efficacité. Nous sommes sur la même longueur d’ondes c’est pour cela que tout a été très naturel depuis le début.

 

Electricien sans frontières, ONG de solidarité internationale, qui lutte contre les inégalités d’accès à l’électricité et à l’eau dans le monde, fait elle aussi, partie de l’aventure. Est-ce que c’est important pour vous de porter un engagement solidaire ?

Bien sûr, c’est une chance que Prysmian Group puisse aider des pays défavorisés. C’est extraordinaire de permettre à une petite école, à un petit village d’avoir de l’électricité.

 

Comment voyez-vous la suite de votre partenariat avec Prysmian Group ?

L’objectif est d’améliorer ce que l’on a fait précédemment. Donc on va se donner les moyens de faire mieux, d’améliorer nos résultats. Par exemple, ce serait sympa de gagner le prochain Vendée Globe en 2024. C’est la plus belle reconnaissance que je puisse donner à l’entreprise qui me soutient depuis toutes ces années. Prysmian Group est un partenaire qui a cru en moi depuis que je suis tout jeune, ce serait une très belle façon de boucler la boucle !

 

Retrouvez les premières parties de son interview :
Partie 1 – Les modifications réalisées sur l’Imoca Prysmian Group
Partie 2 – La Route du Rhum
Partie 3 – Giancarlo Pedote, un compétiteur né